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vendredi 16 octobre 2009
Sarkozy (Jean) est élu. La belle affaire! (partie 2/2)
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jeudi 15 octobre 2009
Sarkozy (Jean) est élu. La belle affaire! (partie 1/2)
Alors que le monde entier ricane à gorge déployée de la France, les courtisans de Sarkoland dégainent à tout va un slogan simpliste et manipulateur : Jean Sarkozy est légitime car il est élu. Il y en a bien quelques-uns aussi miteux comme par exemple celui de la chasse à l’homme (en fait s’il y en a un qui s’y connaît en chasse à l’homme, ou à l’étudiant thaïlandais de 40 ans, c’en est bien un autre) ou celui de l’opposition qui, revancharde et aigrie et jalouse, qui n’a rien à dire ni à proposer, veut s’attaquer au père au travers du fils alors que c’est le monde entier qui s’indigne, et celui volé à Corneille que la valeur n’attendrait pas le nombre des années.

Votre aimable serviteur
sur AgoraVox
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sarkozy-jean-est-elu-la-belle-63191
dimanche 11 octobre 2009
La "virtualisation" de la vie est un fléau
Chacun se créé son petit univers parallèle, sa petite bulle virtuelle dans lesquels il évolue et se créé son moi idéal.
Internet : outil d’information de masse ou bien maître absolu d’un peuple devenu esclave de la technologie et de la facilité ?
La virtualisation passe par de nombreux chemins et les conséquences sont presque à chaque fois plus désastreuse les unes que les autres :
- La jeunesse et le fléau de la perte d’identité : en effet, internet offre la possibilité aux jeunes de se constituer une vie virtuelle. Vie virtuelle qui ne ressemble étrangement pas toujours à leur vie réelle : embellissement de certains détails, escamotage d’autres… D’un point de vue psychologique, il y a une vraie calamité car bien souvent ces jeunes s’enferment dans cette vie virtuelle sublimée au détriment de la vie réelle. Cela entraîne de maints replis sur soi, ou une tendance prononcé pour le mensonge voire à la schizophrénie. Mais cela ne crée pas seulement des destructions progressives de la personnalité, il y a d’autres problèmes comme le soulève l’introduction d’un article assez intéressant sur « Generationcyb.net » : « Selon l’institut IPSOS, 62 % des parents se disent préoccupés par l’usage que leurs enfants font d’Internet. Au premier chef des sources d’inquiétude, les sites pornographiques. Viennent ensuite les sites idéologiques, puis les jeux violents et jeux d’argent. Les craintes sont d’autant plus fortes que les « youngnautes » se familiarisent beaucoup plus rapidement à l’ordinateur et à Internet que leurs parents. »
Retrouvez l’article ici http://www.generationcyb.net/Les-jeunes-et-Internet-quels,0176
Le pire est à venir pour des jeunes complètement asservis par internet, dépossédé de leur existence par ce fascinant monde parallèle….
- La virtualisation des échanges humains pour une société plus égocentrique : Le problème qui découle directement de l’absorption des jeunes et des moins jeunes par Internet est celui-ci : les échanges humains ont de moins en moins l’aspect humain. Entre téléphone mobile où on n’échange presque plus que par texto ou appels illimités et internet où on ne parle plus que par MSN, Facebook ou par email, on constate désespérément que les gens ne font plus l’effort d’aller les uns vers les autres dans la vie quotidienne. A quoi bon se faire des amis en vrai, je m’en ferai sur internet. A quoi bon chercher l’amour, il y a des milliers de gens qui le cherchent sur des sites de rencontre. Le vrai problème est que du virtuel au réel, le décalage est souvent tellement grand qu’il y a clash. La vraie calamité de la virtualisation des échanges humains est que cela favorise l’individualisme. Chacun est dans son coin, dans sa sphère virtuelle sans plus se préoccuper de savoir s’il y a quelqu’un autour d’eux au jour le jour. Cet individualisme accru pourrait causer de graves dégats dans nos sociétés qui sont par essence grégaire : l’Homme a pu évoluer et se défendre tout au long des millénaires parce qu’il faisait parti d’un tout, chacun était uni, il y avait une vraie solidarité. En détruisant cette solidarité, tout reste à craindre d’un avenir plus sombre de jour en jour.
Voici un article neutre sur le sujet mais qui explique bien les modifications qu’il y a au sein de notre société d’un point de vue scientifique
http://rhrt.edel.univ-poitiers.fr/document.php?id=451#tocto4
- La virtualisation de l’économie est une calamité : là est le vrai fléau. Beaucoup (trop) de gens ont oublié les désastres générés par des bugs informatiques sur la sécurité sociale. Laissez-moi vous les rappeler : entre 2001 et 2007, la mise en place d’un nouveau logiciel par la Sécurité Sociale a connu un bug tel que certaines dépenses ont été remboursées deux à trois fois aux cliniques… Coût total : quelques 10 millions d’euros de perdus. Autre souci et encore à la Sécurité Sociale : en Juin 2009, un autre bug informatique a coûté cette fois-ci 900 millions à la sécu, presque un milliard ! Imaginez que de telles choses arrivent pour les caisses de l’Etat ou au niveau mondial à la Bourse. Vous n’imaginez même pas les conséquences chaotiques que cela aurait sur l’économie française et mondiale. Nous laisserons-nous bouffer par le virtuel malgré toutes ces menaces de « trahisons » ? Car l’informatique n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais un outil fiable !
Internet semble donc à la fois un outil qui facilite le quotidien, mais en même temps, il a pour conséquences néfastes les destructions de personnalités, la désolidarisation entre les hommes et la dépendance des hommes au bon vouloir du « réseau ». Cette nouvelle forme d’esclavagisme pourra aussi avoir pour fâcheuses conséquences futures la sédentarisation à outrance des sociétés et tous les problèmes qui s’y rapportent : poids, santé, oisiveté etc…
A méditer.
°Versus°.
lundi 28 septembre 2009
Du chaos politique qui règne en France


Gauche, droite, Gauche, droite : n’en avez-vous pas marre qu’on vous dise comment marcher ? N’en avez-vous pas marre de cette séparation qui divise
Diviser pour mieux régner est la devise des chefs de l’Etat et les petits moutons acceptent cette division qu’on impose parmi les peuples comme une liberté feinte de faire leur choix.
Je ne crois pas qu’il faille conserver la séparation comme essence du Peuple Français. Je ne crois pas que le Peuple Français sera apte à faire face au chaos mondial qui se profile s’il reste ainsi enferré dans des clivages aussi obsolètes que dérisoires.
Ces clivages nous mènent à l’immobilisme : la droite propose des lois contre lesquelles la gauche se soulève, la gauche propose des alternatives que la droite décrédibilise. Mais la droite et la gauche ne ressemblent même plus ni à la droite ni à la gauche de départ. C’est le chaos le plus total : le PS se divise et se tire dans les pattes, laissant des socialistes amères et déçus ne sachant où se tourner vu que le PCF est en perdition, que le NPA ne propose rien de concret si ce n’est une opposition, que
Français, si nous restons ainsi dans ces luttes intestines, nous y perdrons et notre liberté et notre dignité. Il est temps pour nous de montrer l’exemple en sortant de ce chaos politique insoutenable pour trouver une nouvelle alternative, non pas une troisième voie, qui elle aussi peut se scinder en quatrième, cinquième, sixième voie, mais une voie où se retrouverait TOUTE la population française pour enfin marcher main dans la main, au-delà de nos différences, nous avons des idéaux communs : la sortie de la crise, la souveraineté de
---Hemera---
dimanche 20 septembre 2009
Misère du journalisme publicitaire
Il peut rejoindre l'article sur la Désinformation proposé par °Versus°
Retrouvez son blog ici
http://livernette.blogspot.com/
La pub dans nos journaux, le phénomène n’est pas nouveau, il mérite toutefois qu’on s’y penche en détails. Lorsqu’on évoque la publicité, on pense instinctivement à celle intercalée entre nos émissions télévisées, ou bien celle envahissant nos boîtes aux lettres ou encore celle plantée dans nos rues sur nos trottoirs. Un harcèlement de tous les instants devenu ordinaire pour le citoyen moyen de ce début de millénaire.
« Publicité », le mot est lâché, il nous rappelle le succès de « 99 F » de Frédéric Beigbeder du temps où ce dernier était encore écrivain. Le mot colle aussi à la peau d’un autre collabo, Jacques Séguéla, le spécialiste du retournement de veste sans jamais la froisser ni être gêné lorsqu’il s’agit de regarder le peuple en face.
Comme chacun sait, qui finance décide. L’antienne est immuable. En plus des collectivités territoriales, la publicité finance majoritairement la presse. C’est donc elle qui l’oriente, dicte sa ligne éditoriale, commande ses pages selon les évènements -ou faux évènements- que nos médias montent en épingle.
Dans les journaux, la publicité prend différentes formes. L’une est directe, apparente, cantonnée en bas de page ou mieux encore sur des feuillets entiers. L’autre se diffuse à visage moins découvert. Il s’agit du publi-rédactionnel. Une publicité bien plus indirecte donc, dissimulée dans des canards où l’on fait semblant de nous informer pour mieux nous inciter franchement à consommer. Ce genre de journalisme se retrouve d’ailleurs autant dans l’audiovisuel, les stations radios que dans la presse écrite.
A défaut d’avoir un journalisme d’investigation qui élève le niveau culturel, à la recherche de la pure vérité, nous avons droit à ce journalisme commerçant. Un vague catalogue publicitaire incitant à consommer pour consommer, histoire de nous rappeler -au cas où nous l’aurions oublié- que nous sommes de simples consommateurs, le but étant de faire tourner l’industrie, le business des multinationales ayant indéniablement plombé le petit entreprenariat. De multiples incitations en découlent : incitation à consommer au stade, dans divers commerces et autres loisirs… parallèlement à l’incitation à voter selon la couleur politique du canard.
Simple constat : ce fameux publi-rédactionnel occupe une place grandissante au milieu d’informations aussi futiles qu’inutiles. Mais l’autre gros problème, c’est lorsque le grand public considère cette pseudo-information comme une info d’importance, au-delà bien évidemment de l’info mensongère ou encore manipulatrice. Une vaste entreprise de déconscientisation des masses par le détournement de l’information vraie, l’essentiel concret sur les enjeux réels de notre société.
Mais quand le futile s’ajoute à l’inutile, le néant n’est pas très loin. Le vide non plus. Et comme la nature a horreur du vide… le lecteur ou téléspectateur zappe. Alors les ventes des médias s’essoufflent et la presse dégresse ses effectifs tandis qu’aux yeux du grand public, elle perd logiquement sa crédibilité. D’où de plus de plus de gens en recherche de vérité allant fouiller l’information alternative sur internet.
On distingue aussi l’auto-publicité ou publicité nombriliste. Celle-ci est tout autant ridicule, assez fréquente et s’établit au sein même de son propre média. Exemple : lorsqu’une chaîne martèle à longueur d’antenne un prochain programme télévisé (un OM-PSG par exemple) ou lorsqu’un journal incite ses lecteurs sur une page entière à s’abonner. On n’est jamais mieux servi que par soi-même, n’est-ce pas ?
Autre point important à signaler, avec la multiplication des chaînes câblées, constatons avec lucidité que le flux d’information envoyé aux téléspectateurs est globalement le même d’un média à l’autre. Ainsi, la référence n’est plus la chaîne ou le média mais bien l’information traitée, qu’elle le soit sur TF1, France Télévision, LCI, I télé, France 24, Euronews ou BFM TV.
Dès lors, plusieurs questions se posent. Avec l’avènement d’internet et puisque c’est la publicité qui finance majoritairement la presse écrite, le gratuit complété par son propre site web semble être l’avenir de cette dernière. Car si le sport et les chats écrasés ajoutés au flux d’information national standardisé occupent l’essentiel du contenu des journaux locaux, quel intérêt y aura-t-il à terme d’acheter un produit de plus en plus vide ?
Les anciens considèrent encore la presse papier comme la référence. Ils aiment encore s’y pencher en buvant paisiblement leur café le matin au bistrot. Mais qu’en sera-t-il des jeunes générations élevées à la culture internet ? Celles-ci se focaliseront-elles autant sur la presse écrite que leurs devancières ? Il y a fort à parier que non.
Vous l’avez compris comme moi, entre la pub et le publi-rédactionnel, l’aspect publicitaire envahit notre presse. Ce faux journalisme ne peut, sur la durée, se suffire à lui-même. Il ne peut et ne pourra contenter le lecteur bien longtemps. Là aussi, une profonde remise en question s’impose.
Par Johan Livernette
Retrouvez l'article ici
mardi 15 septembre 2009
8% de la population française en dépression...
Je prends la plume aujourd'hui à travers l'OCA puisque l'occasion m'en est donnée, OCA que je remercie par ailleurs.
Que se passe-t-il ? Pourquoi 1 français sur 5 est-il sujet à la dépression ? Tout va bien ? Tout est fait en France pour que les gens se sentent bien ?
Il est vrai qu’entre impôts, loyers trop chers, la vie au quotidien qui augmente depuis l’arrivée de l’euro pour des salaires qui eux stagnent (l’augmentation du SMIC chaque année augmente en même temps que les prix et augmente même moins). La crise du logement est avérée (l’INSEE a recensé 86.000 SDF en 2005), mais le pire, c’est la crise de l’emploi ! Le chômage n’a de cesse de croître et il devient presque miraculeux à l’heure actuelle de se trouver un cdi (croyez-en mon expérience, dans ma boîte, les employés n'ont presque que des cdd ou des missions en interim) . En Novembre 2008, on a atteint des taux qu’on avait très rarement atteints auparavant : 8.5% de la population active au chômage ! Entre licenciements, fermetures de sites, d’usine, délocalisations : comment fais le Français pour s’en sortir. Non, messieurs, ça ne sont pas les étrangers qui prennent le travail aux Français : les étrangers, je vous le rappelle, souffrent bien souvent de la discrimination et sont donc encore plus touchés par ce phénomène sans précédent en France : et le chômage qui ne diminue pas !
A part ça : Tout va bien.
La crise économique est mondiale (merci la mondialisation), la pandémie nous guette et il est probable que 30 000 Français ne voient pas Noël cette année : mais le gouvernement se veut rassurant : Tout va bien. Il faut y croire.
Alors il n’y a rien d’étonnant dans le fait que les Français sombrent dans la dépression : complètement étouffés dans un chaos qui parait sans issu, accablés de stress, de nervosité, de taxes… Les nerfs finissent par lâcher, car après tout, nous sommes des êtres humains et les politiques semblent trop souvent l’oublier.
Je vous laisse avec un article de Géopolis traitant de ce sujet :
http://geopolis.over-blog.net/article-14059430.html
même le figaro en parle
Alors, vous aussi vous pensez que tout va bien?
Il y a un réel malaise en France.
Isabelle B., cadre en entreprise lassée de voir la France souffrir. (dép. 86)
vendredi 11 septembre 2009
Qu'est-ce que l'antisionisme: échapper aux clichés

A l’occasion des récentes élections européennes, une liste antisioniste est apparue en Ile-De-France, ravivant le débat, les tensions et les clichés.
Le qualificatif d’antisémite a bien entendu été réutilisé faussant un débat pourtant sans aucune ambigüité. Il nous est donc apparu nécessaire de redéfinir clairement l’antisionisme, sa raison d’être et son actualité, de façon neutre et posée, car il n’est plus temps de confondre antisémitisme et antisionisme.
L’antisioniste, comme son nom l’indique, s’oppose au sionisme, c’est-à-dire qu’il combat l’existence d’un Etat religieux juif et unique en Palestine.
Il faut préciser bien entendu qu’il n’existe aucun lien entre antisionisme et antisémitisme, la meilleure preuve étant que de nombreux juifs sont antisionistes…
Il s’agit simplement de s’opposer à Israel dans sa forme actuelle, militariste et impérialiste.
L’antisionisme s’accompagne le plus souvent d’un sentiment pro-palestinien, peuple oppressé et ghettoïsé depuis une décision arbitraire et absurde de l’ONU en 1947.
L’antisionisme prend aujourd’hui une dimension anti communautariste en s’opposant au lobby sioniste manifestement très puissant et influent, tant en France (cf l’affaire Dieudonné), qu’au niveau international (cf conférence Durban II).
Les antisionistes sont de toutes appartenances politiques, on en trouve à droite comme à gauche, à l’extrême droite comme à l’extrême gauche, généralement dans le camp antiaméricain (Israël étant quasiment considéré comme un « porte-avion » américain au Proche-Orient, ce qui, après réflexion n‘est pas une hypothèse si stupide).
On le voit, l’accusation d’antisémitisme n’a pas lieu d’être, la médiocrité de cette accusation n’insulte que leurs auteurs…
L’antisionisme, menée aussi bien par des rabbins Juifs, que par des amis de Juifs, que par des gens de gauche, de droite, de tous les bords, est aujourd’hui une réalité qui se comprend: on ne vole pas sauvagement le pays d’un peuple. La Palestine aurait pu être scindée en deux pacifiquement, les palestiniens, peuple en soi pacifique auraient accepté la venue d’Israël. Au lieu de ça, nous avons assisté à un massacre: une vraie guerre s’est installée et l’Etat palestinien est chaque jour un peu plus grignoté… Cherchez l’erreur.
Un bon croquis vaut souvent mieux qu’un long discours, retrouvez à l'entête de l'article une carte qui permet de comprendre clairement de quoi il s’agit.
THX