dimanche 8 mai 2011

Parution du Manifeste de la Dissidence Française

face couverture Manifeste.pngLe 1er Mai 2011 dernier fut marqué par la parution d'un ouvrage qui représente à nos yeux une étape majeure pour la sphère alternative, et la mouvance dissidente dans son ensemble. En effet, cette date fut marquée par la parution du Manifeste de la Dissidence Française, véritable programme commun de la Dissidence, résultat d'un travail collectif inédit. Ce projet pour relever la France n'hésite pas à rompre avec les clivages et les idéologies pour aller à l'essentiel : offrir une alternative complète de dépassement du capitalisme. Pour couronner le tout, ce libre est placé sous licence creative commons, c'est-à-dire qu'il peut être librement copié et diffusé sous réserves de quelques conditions classiques. Le Réseau La Dissidence s'inscrit ici véritablement dans un processus de propositions, en rupture complète avec l'idéologie officielle d'une société qui tourne à vide. Mais trêve de bavardages, découvrez dés maintenant la présentation du livre sur le site de la Dissidence, et téléchargez le livre proprement dit :


Le Manifeste de la Dissidence Française sur le site de la Dissidence



Parution du Manifeste de la Dissidence Française

face couverture Manifeste.pngLe 1er Mai 2011 dernier fut marqué par la parution d'un ouvrage qui représente à nos yeux une étape majeure pour la sphère alternative, et la mouvance dissidente dans son ensemble. En effet, cette date fut marqué par la parution du Manifeste de la Dissidence Française, véritable programme commun de la Dissidence, résultat d'un travail collectif inédit. Ce projet pour relever la France n'hésite pas à rompre avec les clivages et les idéologies pour aller à l'essentiel : offrir une alternative complète de dépassement du capitalisme. Pour couronner le tout, ce libre est placé sous licence creative commons, c'est-à-dire qu'il peut être librement copié et diffusé sous réserves de quelques conditions classiques. Le Réseau La Dissidence s'inscrit ici véritablement dans un processus de propositions, en rupture complète avec l'idéologie officielle d'une société qui tourne à vide. Mais trêve de bavardages, découvrez dés maintenant la présentation du livre sur le site de la Dissidence, et téléchargez le livre proprement dit :


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Parution du Manifeste de la Dissidence Française

face couverture Manifeste.pngLe 1er Mai 2011 dernier fut marqué par la parution d'un ouvrage qui représente à nos yeux une étape majeur pour la sphère alternative, et la mouvance dissidente dans son ensemble. En effet, cette date fut marqué par la parution du Manifeste de la Dissidence Française, véritable programme commun de la Dissidence, résultat d'un travail collectif inédit. Ce projet pour relever la France n'hésite pas à rompre avec les clivages et les idéologies pour aller à l'essentiel : offrir une alternative complète de dépassement du capitalisme. Pour couronner le tout, ce libre est placé sous licence creative commons, c'est-à-dire qu'il peut être librement copié et diffusé sous réserves de quelques conditions classiques. Le Réseau La Dissidence s'inscrit ici véritablement dans un processus de propositions, en rupture complète avec l'idéologie officielle d'une société qui tourne à vide. Mais trêve de bavardages, découvrez dés maintenant la présentation du livre sur le site de la Dissidence, et téléchargez le livre proprement dit :


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dimanche 6 février 2011

Laïcisation, athéisme et consumérisme : d’un culte à un autre.


L’exigence, il y a un peu plus d’un siècle, de la séparation de l’Église et de l’État dériva rapidement vers une volonté pure et simple d’extraire la société française des carcans religieux qui étaient les siens depuis des siècles.

Mais à mesure qu’émergeait la société de l’athéisme radical qui devait constituer le terreau de la République laïque, une autre tendance commença à se développer et à s’approprier cet « espace spirituel » laissé vacant : le consumérisme.

Ce constat semble à première vue assez exagéré, mais la réalité nous montre tous les signes d’un phénomène qui n’est plus seulement économique ou social, mais qui tend à devenir religieux tant la société apparaît imprégnée d’une ferveur quasi-mystique, bien qu’encore latente.

Si l’on s’intéresse de plus près à l’étymologie même de l’athéisme, on comprend davantage le glissement qui a pu s’opérer : athéisme c’est l’absence de theos, de Dieu. Mais cela ne veut pas dire l’absence de religion. Ainsi, au bout d’un processus long de plusieurs décennies, la société est parvenue à se purger de Dieu, et de l’Église. Mais en aucun elle n’a réussi dans le même temps à supprimer le besoin de religion, de spiritualité, qui dort en chacun de nous, et pour cause : ce besoin est fondamental et constitue une part indissociable de chaque individu.

L’individu ressent un besoin de spirituel, mais surtout d’une éthique, d’une morale, découlant d’une spiritualité organisée. La disparition de l’influence de l’Église, l’effacement de la morale traditionnelle catholique, et l’incapacité de la République à combler ce déclin des instances spirituelles classiques fut à l’origine d’une mutation sans précédent de la société, découlant directement du capitalisme et de la publicité qui l’anime.

Ainsi, ce qui semble impensable a eu lieu : la consommation a pris cette place que la République n’a pas réussi à occuper. Le culte de Dieu, et de la spiritualité, s’effaça. La philosophie, l’éthique chrétienne qui était associée à cette spiritualité connut le même sort, et nous nous sommes acheminés vers une société où aucune « morale officielle » n’était en vigueur, où l’individu n’était ni citoyen, ni croyant. Au fil des générations, après des dizaines d’années de matraquage publicitaire et de conditionnement psychologique, l’individu devint ce à quoi une société entière le destinait : un consommateur. L’acte d’achat fut non seulement érigé en norme, mais presque en culte.

C’est alors tout un modèle normatif, athéiste mais religieux, qui s’imposa au fil des années, et avec lui de nouvelles valeurs exacerbées, celles de l’individualisme, de l’égocentrisme, de l’ostentation, de la possession, et d’une certaine forme de discrimination méprisante envers les profanes thésauristes, et envers ceux qui restent fidèles aux anciennes idoles morales et traditionnelles.

La dévotion pour de simples objets s’inscrit dès l’enfance où, dans un cercle vicieux, l’amour des parents envers leurs enfants se mesure à l’aune du nombre de cadeaux, et de leur prix, sous le sapin de Noël.

Mais en réalité, cette dévotion ne porte pas sur les objets proprement dits, mais sur l’univers symbolique et les signes qui y sont associés. Telles des reliques des temps modernes, la possession de ces objets s’apparente à la possession d’une fraction d’un mythe omniprésent et collectif, intégralement artificiel.

Les nouveaux temples sont ces centres commerciaux où d’immenses processions d’individus s’agitent dans un élan commun vers cet acte d’achat qui valorise le bon consommateur, comme autrefois la présence à la messe valorisait le bon croyant. Les publicités, omniprésentes, sont comme des appels quotidiens à la prière et rappellent à chacun la philosophie en vigueur, à laquelle il faut non seulement souscrire, sous peine d’une insidieuse exclusion sociale, mais qu’il faut en plus légitimer en consommant et, surtout, en arborant cet acte d’achat comme signe de réussite sociale.

Pour se faire une idée de la situation, il suffit d’observer ces scènes stupéfiantes qui se déroulent lors de l’ouverture des grands magasins pour ce rite récurrent de consommation massive et collective que ce sont les soldes : on y voit courir des femmes, prêtes à se battre et à se piétiner pour des morceaux de tissus, prêtes à n’importe quelles violences pour dénicher « une bonne affaire » avant les autres. Ces scènes n’évoquent-elles pas une forme de fanatisme ? Et l’objet de ce fanatisme n’est pas la possession de quelques morceaux de tissus disponible tout le reste de l’année, mais plutôt la volonté de se distinguer au cours d’un rite religieux en exprimant de la façon la plus violente possible sa dévotion à la religion consumériste, en montrant fiévreusement au collectif son appartenance au modèle normatif dominant.

Nous assistons ces dernières années à un renforcement de ce culte consumériste, sous l’œil de l’oligarchie politico-médiatique qui n’hésite pas à mettre en avant ce phénomène comme un signe de progrès social qu’il faut soutenir, comme en témoigne d’ailleurs l’utilisation récurrente du terme « pouvoir d’achat ».

En réalité, ce nouveau culte va clairement à l’encontre de l’effort de Civilisation en introduisant une nouvelle philosophie, de nouvelles valeurs a-morales intégralement opposées aux valeurs traditionnelles sans lesquelles aucune société humaine n’aurait put émerger ni se développer.

C’est donc une voie de « décivilisation » que nous empruntons, sous le double effet du déclin de la morale et de la spiritualité traditionnelle d’une part, et de l’émergence d’un culte athéiste et consumériste d’autre part.

Par conséquent, il n’est pas de lutte intelligente contre le capitalisme et ses dérivés qui ne soit dans le même temps un combat pour la morale et les fondements spirituels historiques de notre nation.

Vincent Vauclin sur Le Grand Soir

dimanche 30 janvier 2011

La machine de domination internet




Et si on avait trouvé mieux que ce qu’avaient pu imaginer Aldous Huxley ou encore George Orwell pour asservir les populations ? Si on avait trouvé un moyen de les abrutir et de les cantonner dans un état proche de la végétation pour les empêcher de réfléchir, de prendre des initiatives, de se défendre ?

Car faisons le constat suivant : en 2006, les manifestations anti-cpe rassemblent le 28 mars près d’un million de Français dans les rues selon la police, deux millions selon les syndicats. Du quasi jamais vu. On a même commencé à comparer les manifestations contre le contrat première embauche à mai 68 ! Le contrat première embauche était certes une sacré entourloupe qui menaçait de précariser les jeunes. Mais bon, après tout, cela n’était qu’un contrat de travail qui allait mettre du temps à être mis en place et ça n’était pas dit que toutes les entreprises l’appliquent…

Le 24 juin 2010, seulement un million de personnes selon les syndicats et 350 000 personnes selon la police étaient dans les rues pour manifester contre la terrible réforme des retraites : on s’est battu pour cette retraite et on nous dit qu’il faudra partir plus tard, que deux ans ça n’est rien… Mais deux ans dans une vie c’est énorme ! De plus retarder l’âge du départ à la retraite ne favorise en rien la création d’emploi. Ce sont tous les acquis sociaux français qu’on est en train de détruire sous couvert d’harmonisation européenne, de dette factice, de capitalisme chevronné… Et c’est moitié moins de personnes dans les rues que pour le CPE. Que s’est-il passé ?

Plusieurs hypothèses sont possibles : la première est que les Français n’y croient plus, ils n’ont plus la force de se battre et savent que le guignol Sarkozy ne les écoutera pas et préfèrera oublier ça en mangeant au Fouquet’s ou se faire prêter un yacht par le patron de Médiamétrie.

Mon hypothèse est différente, et il ne s’agit là que d’une hypothèse, qui recoupe un réel et profond problème de notre société actuelle et à venir. Selon moi, on a appris aux Français à se désintéresser de leur propre cas en canalisant toute leur énergie et toute leur pensée vers un objet fascinant et obsédant : internet. Qui ne connait pas une personne qu’on nomme « geek » ? Qui ne possède pas de compte facebook, twitter, myspace ou msn ? La dépendance à Internet est devenue un vrai phénomène de société et cela se ressent tant dans le comportement agressif des jeunes, de la chute vertigineuse de la qualité de l’orthographe en France, du fait qu’il n’y a que très peu d’ami, de famille qui ne se contacte que par téléphone et parfois, discuter sur internet leur suffit. Par là, abréviation, taper vite, ne pas se prendre la tête font qu'on écrit n'importe comment, qu'on lit n'importe quoi et cela dégrade la qualité de l'orthographe. Cet état de dépendance vis-à-vis d’internet a été décrypté pour la première fois par le psychologue Kimberly Young lors d’un colloque aux USA en 1996. Un article sur wikipédia est même consacré à ce nouveau phénomène : vous trouverez l’article en question plus complet à l’adresse suivante http://fr.wikipedia.org/wiki/Dépendance_à_Internet .

Ainsi les Français, de même que les populations des pays développés deviennent dépendants à Internet. La « cyberdépendance » est le sujet d’articles de plus en plus nombreux. Les risques sont nombreux, dans les articles en question, souvent des articles de chercheurs ou de professionnels de la psychologie et de la dépendance, on retrouve le plus souvent des risques d’obésité, de mauvaises rencontres, de migraines, et de désocialisation. Mais ce qui est plus intéressant et ce qui confirme mon hypothèse, c’est qu’il est prouvé que l’utilisation prolongée d’internet entraîne l’individu dans un cercle vicieux tel que plus il ira sur internet, plus il lui faudra y aller. En même temps, tout est fait pour : sites attractifs, l’illusion d’avoir tout à portée de la main et facilement, des lieux de socialisation concentrant la plupart de nos connaissances et donc le moyen de les contacter rapidement. Etc… Et plus l’individu s’attachera à internet ( sans même s’en rendre compte), plus il deviendra nerveux voire violent lorsqu’il ne peut plus y avoir accès.

Cette montée de la violence, cette individualisation des gens qui se coupent du monde réel a des conséquences très positives pour les autorités désireuses de mettre en place des mesures qui, d’ordinaire, déclencheraient des émeutes. Effectivement, l’addiction à internet crée des états proches de la léthargie en permanence, et coupe l’individu du monde réel : qu’importe ce qui se passe à l’extérieur, on est bien mieux dans le cocon protecteur de la sphère virtuelle, on y a ses amis, sa famille, des jeux en lignes sur lesquels on se détend, des sites de rencontres et des forums ou on se magnifie et où on peut donner enfin une image acceptable de soi…

Peu à peu, les gens s’enferment dans cette sphère et la dépendance entraîne la dépendance et coupe progressivement tous les liens avec le réel. A quoi bon aller manifester? J'ai rejoins un groupe de protestation sur facebook, à quoi bon aller aider les SDF le dimanche, je peux le faire en un clic via paypal de chez moi -et nous savons tous que l'argent ne leur revient jamais- à quoi bon sortir de chez moi pour participer à des débats politiques, je peux cafouiller sur des forums qui ne feront jamais changer les choses. Bref: on ne passe plus à l'action parce qu'on a l'illusion d'agir sur internet, cependant, agir sur internet n'est pas agir dans la réalité, et cette réalité est en train d'être façonnée sans nous, et prend une forme hideuse et injuste: un capitalisme effréné et à outrance, qui nous prive de tous nos acquis, appauvrit les plus pauvres, enrichit les plus riches. C'est à l'extérieur qu'il faut se lever et agir! Mais, quand tous les liens seront coupés avec l’extérieur, l’humain ne sera plus capable de se lever contre… la matrice.







°Versus°.

Retrouvez mon article "la virtualisation de la vie est un fléau" publié le 11 octobre 2009 à cette adresse: http://observatoire-du-chaos-ambiant.blogspot.com/2009/10/la-virtualisation-de-la-vie-est-un.html

jeudi 6 janvier 2011

Pour un vrai statut de la mère au foyer

Parce qu’être mère doit être reconnu par la société, parce que trop de femmes n’ont plus le choix d’élever leurs enfants et sont contraintes de travailler : luttons contre cet esclavage moderne qui arrache les mères à leurs enfants sous prétexte de les émanciper par le travail, travaillons pour un vrai statut de la mère au foyer !

« Que fait ta mère dans la vie ? », « elle est mère au foyer », « ah, d’accord, en fait, elle ne fait rien ». Combien de fois ces situations embarrassantes ont eu lieu pour les enfants dont la mère est au foyer ? Trop de fois. Et ceci est la preuve que la société possède une image erronée de la femme au foyer, cette femme qui reste à la maison parce qu’elle ne veut pas travailler à l’extérieur et qu’elle préfère choyer sa famille. Il est temps de briser ces préjugés et de comprendre le rôle fondamental de la mère, parce que c’est de cela qu’il s’agit : du rôle de la mère. La femme au foyer est une femme qui a fait le choix de s’occuper elle-même de ses enfants, sans les laisser être élevés par des inconnus. Elle a fait le choix de consacrer sa vie à sa famille, celle qu’elle a bâti de ses mains. Et elle ne fait rien ? La femme au foyer est femme de ménage, une nourrice, un manager, une secrétaire, une infirmière : elle n’a de cesse d’être occupée par ses enfants, par la gestion du foyer. C’est un choix, et il est bien souvent le meilleur pour l’équilibre des enfants qui retrouvent chaque soir leur mère auprès d’eux.

Mais ces femmes qui ont fait le choix d’élever elles-mêmes leurs enfants, d’accueillir leur époux quand il rentre du travail, de tenir la maison impeccable n’ont aucun statut dans la société :

- Les mères au foyer sont sans retraite et ne touchent que le minimum vieillesse qui s’appelle à présent l’ASPA : l’Allocation de Solidarité aux personnes âgées est de 708,95 € brut (source : http://vosdroits.service-public.fr/F16910.xhtml) soit juste au-dessus du seuil de pauvreté lorsqu’elle y a le droit (et les conditions ne sont pas toujours remplies)

- En cas de divorce, la mère au foyer se retrouve sans aucun revenu et la pension de son ex-mari est insuffisante pour faire survivre sa famille : elle est donc contrainte de travailler, mais ne le peut pas toujours. (le coût des crèches et des assistantes maternelles empêche bien souvent les mères isolées de faire garder leurs enfants, il leur est à la fois impossible de travailler parce qu’elles doivent s’occuper de leurs enfants et impossible de survivre malgré la réduction de frais de la CAF, il faut compter en moyenne 250 euros pour l’inscription en crèche à l’année, lorsqu’il y a de place, sinon, il faut compter, avec l’aide de la CAF, un euro de l’heure pour une assistante maternelle, soit pour une garde de 7 heures par jour, un coût au mois de 140 euros minimum).

- Comme elle ne gagne rien et, comme le pouvoir d’achat n’a de cesse de baisser, le salaire du mari ne suffit plus et elle se trouve contrainte de travailler : selon une enquête de l’INSEE en 2004, 14,5% des femmes seulement sont au foyer. Contre près de 50% dans les années 50-60. Ce recul de la présence de la mère au foyer n’est pas toujours un choix.

Pour pouvoir laisser le choix des mères d’être mères au foyer, il est nécessaire de mettre en place une vraie rémunération de ces femmes qui ont entre leurs mains l’avenir de la planète : l’éducation des enfants. Il est juste de rémunérer ce choix, et de leur permettre de vivre en toute liberté leur maternité : luttons pour une vraie allocation de la mère au foyer qui lui permettrait d’accéder enfin à une place au sein de la société, de pouvoir d’avantage subvenir aux besoins de sa famille sans se trouver contrainte de travailler et pour enfin avoir droit à une retraite décente ! C'est un droit de la femme!

Ps : la pauvreté des ressources numériques accessibles au public sur le sujet est la preuve du désintérêt du statut de la mère au foyer. Cette situation ne doit plus durer au pays des droits de l’Homme.

---Hemera---