lundi 28 septembre 2009

Du chaos politique qui règne en France



La Révolution de 1789 a eu pour conséquences positives d’émanciper le peuple Français de la domination de la noblesse mais surtout du clergé et de la hiérarchie qui pesait lourd sur leurs épaules. Elle a eu pour conséquences positives l’abolition des privilèges, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen et l’instauration de la République. Mais les débuts furent difficiles. En réalité, les périodes de troubles ont été plus prégnantes, plus nombreuses que les phases d’ordre et de progrès.


La France est tombée dans des clivages qui la paralysent depuis trop longtemps déjà. Tout Français doit, assez vite, se décider d’être de Gauche ou de Droite, le plus souvent sous l’influence des parents, d’amis, de l’entourage. On est de droite ou de gauche de générations en générations. Pour ceux qui en ont marre de ces clivages on peut leur proposer le centre, qui lui aussi est en train de se scinder, ou bien le parti écologique, qui, sous l’égide de Cohn-Bendit, n’est plus aussi à gauche qu’avant, mais plutôt clairement à droite.


Gauche, droite, Gauche, droite : n’en avez-vous pas marre qu’on vous dise comment marcher ? N’en avez-vous pas marre de cette séparation qui divise la France en trois : ceux de gauche, ceux de droite et les autres…

Diviser pour mieux régner est la devise des chefs de l’Etat et les petits moutons acceptent cette division qu’on impose parmi les peuples comme une liberté feinte de faire leur choix.


Je ne crois pas qu’il faille conserver la séparation comme essence du Peuple Français. Je ne crois pas que le Peuple Français sera apte à faire face au chaos mondial qui se profile s’il reste ainsi enferré dans des clivages aussi obsolètes que dérisoires.


Ces clivages nous mènent à l’immobilisme : la droite propose des lois contre lesquelles la gauche se soulève, la gauche propose des alternatives que la droite décrédibilise. Mais la droite et la gauche ne ressemblent même plus ni à la droite ni à la gauche de départ. C’est le chaos le plus total : le PS se divise et se tire dans les pattes, laissant des socialistes amères et déçus ne sachant où se tourner vu que le PCF est en perdition, que le NPA ne propose rien de concret si ce n’est une opposition, que la LO n’est qu’un pantin fantomatique à gauche… L’UMP ne ressemble plus à rien avec leurs magouilles (cf affaire Clearstream), leurs partenariats avec des gens de gauche ou d’extrême droite : un rassemblement ? se rassembler vers quoi ? un parti qui se fout des Français et qui veut asservir la France aux USA (cf tout ce que Mr. Sarkozy fait dans ce sens…), un parti qui prône encore la valeur complètement dépassée et dangereuse du capitalisme ? Assez!


Français, si nous restons ainsi dans ces luttes intestines, nous y perdrons et notre liberté et notre dignité. Il est temps pour nous de montrer l’exemple en sortant de ce chaos politique insoutenable pour trouver une nouvelle alternative, non pas une troisième voie, qui elle aussi peut se scinder en quatrième, cinquième, sixième voie, mais une voie où se retrouverait TOUTE la population française pour enfin marcher main dans la main, au-delà de nos différences, nous avons des idéaux communs : la sortie de la crise, la souveraineté de la Nation française et la Liberté, l’Egalité et la Fraternité qui ne peuvent plus survivre dans cette France complètement divisée.


---Hemera---

dimanche 20 septembre 2009

Misère du journalisme publicitaire

Voici un article issu du blog de Johan Livernette, qui nous a gentiment proposé de participer à l'Observatoire du Chaos Ambiant.
Il peut rejoindre l'article sur la Désinformation proposé par °Versus°
Retrouvez son blog ici

http://livernette.blogspot.com/



La pub dans nos journaux, le phénomène n’est pas nouveau, il mérite toutefois qu’on s’y penche en détails. Lorsqu’on évoque la publicité, on pense instinctivement à celle intercalée entre nos émissions télévisées, ou bien celle envahissant nos boîtes aux lettres ou encore celle plantée dans nos rues sur nos trottoirs. Un harcèlement de tous les instants devenu ordinaire pour le citoyen moyen de ce début de millénaire.

« Publicité », le mot est lâché, il nous rappelle le succès de « 99 F » de Frédéric Beigbeder du temps où ce dernier était encore écrivain. Le mot colle aussi à la peau d’un autre collabo, Jacques Séguéla, le spécialiste du retournement de veste sans jamais la froisser ni être gêné lorsqu’il s’agit de regarder le peuple en face.

Comme chacun sait, qui finance décide. L’antienne est immuable. En plus des collectivités territoriales, la publicité finance majoritairement la presse. C’est donc elle qui l’oriente, dicte sa ligne éditoriale, commande ses pages selon les évènements -ou faux évènements- que nos médias montent en épingle.

Dans les journaux, la publicité prend différentes formes. L’une est directe, apparente, cantonnée en bas de page ou mieux encore sur des feuillets entiers. L’autre se diffuse à visage moins découvert. Il s’agit du publi-rédactionnel. Une publicité bien plus indirecte donc, dissimulée dans des canards où l’on fait semblant de nous informer pour mieux nous inciter franchement à consommer. Ce genre de journalisme se retrouve d’ailleurs autant dans l’audiovisuel, les stations radios que dans la presse écrite.

A défaut d’avoir un journalisme d’investigation qui élève le niveau culturel, à la recherche de la pure vérité, nous avons droit à ce journalisme commerçant. Un vague catalogue publicitaire incitant à consommer pour consommer, histoire de nous rappeler -au cas où nous l’aurions oublié- que nous sommes de simples consommateurs, le but étant de faire tourner l’industrie, le business des multinationales ayant indéniablement plombé le petit entreprenariat. De multiples incitations en découlent : incitation à consommer au stade, dans divers commerces et autres loisirs… parallèlement à l’incitation à voter selon la couleur politique du canard.

Simple constat : ce fameux publi-rédactionnel occupe une place grandissante au milieu d’informations aussi futiles qu’inutiles. Mais l’autre gros problème, c’est lorsque le grand public considère cette pseudo-information comme une info d’importance, au-delà bien évidemment de l’info mensongère ou encore manipulatrice. Une vaste entreprise de déconscientisation des masses par le détournement de l’information vraie, l’essentiel concret sur les enjeux réels de notre société.

Mais quand le futile s’ajoute à l’inutile, le néant n’est pas très loin. Le vide non plus. Et comme la nature a horreur du vide… le lecteur ou téléspectateur zappe. Alors les ventes des médias s’essoufflent et la presse dégresse ses effectifs tandis qu’aux yeux du grand public, elle perd logiquement sa crédibilité. D’où de plus de plus de gens en recherche de vérité allant fouiller l’information alternative sur internet.

On distingue aussi l’auto-publicité ou publicité nombriliste. Celle-ci est tout autant ridicule, assez fréquente et s’établit au sein même de son propre média. Exemple : lorsqu’une chaîne martèle à longueur d’antenne un prochain programme télévisé (un OM-PSG par exemple) ou lorsqu’un journal incite ses lecteurs sur une page entière à s’abonner. On n’est jamais mieux servi que par soi-même, n’est-ce pas ?

Autre point important à signaler, avec la multiplication des chaînes câblées, constatons avec lucidité que le flux d’information envoyé aux téléspectateurs est globalement le même d’un média à l’autre. Ainsi, la référence n’est plus la chaîne ou le média mais bien l’information traitée, qu’elle le soit sur TF1, France Télévision, LCI, I télé, France 24, Euronews ou BFM TV.

Dès lors, plusieurs questions se posent. Avec l’avènement d’internet et puisque c’est la publicité qui finance majoritairement la presse écrite, le gratuit complété par son propre site web semble être l’avenir de cette dernière. Car si le sport et les chats écrasés ajoutés au flux d’information national standardisé occupent l’essentiel du contenu des journaux locaux, quel intérêt y aura-t-il à terme d’acheter un produit de plus en plus vide ?
Les anciens considèrent encore la presse papier comme la référence. Ils aiment encore s’y pencher en buvant paisiblement leur café le matin au bistrot. Mais qu’en sera-t-il des jeunes générations élevées à la culture internet ? Celles-ci se focaliseront-elles autant sur la presse écrite que leurs devancières ? Il y a fort à parier que non.

Vous l’avez compris comme moi, entre la pub et le publi-rédactionnel, l’aspect publicitaire envahit notre presse. Ce faux journalisme ne peut, sur la durée, se suffire à lui-même. Il ne peut et ne pourra contenter le lecteur bien longtemps. Là aussi, une profonde remise en question s’impose.

Par Johan Livernette
Retrouvez l'article ici

mardi 15 septembre 2009

8% de la population française en dépression...

Photo par Dorothea Lange

Je prends la plume aujourd'hui à travers l'OCA puisque l'occasion m'en est donnée, OCA que je remercie par ailleurs.


Que se passe-t-il ? Pourquoi 1 français sur 5 est-il sujet à la dépression ? Tout va bien ? Tout est fait en France pour que les gens se sentent bien ?


Il est vrai qu’entre impôts, loyers trop chers, la vie au quotidien qui augmente depuis l’arrivée de l’euro pour des salaires qui eux stagnent (l’augmentation du SMIC chaque année augmente en même temps que les prix et augmente même moins). La crise du logement est avérée (l’INSEE a recensé 86.000 SDF en 2005), mais le pire, c’est la crise de l’emploi ! Le chômage n’a de cesse de croître et il devient presque miraculeux à l’heure actuelle de se trouver un cdi (croyez-en mon expérience, dans ma boîte, les employés n'ont presque que des cdd ou des missions en interim) . En Novembre 2008, on a atteint des taux qu’on avait très rarement atteints auparavant : 8.5% de la population active au chômage ! Entre licenciements, fermetures de sites, d’usine, délocalisations : comment fais le Français pour s’en sortir. Non, messieurs, ça ne sont pas les étrangers qui prennent le travail aux Français : les étrangers, je vous le rappelle, souffrent bien souvent de la discrimination et sont donc encore plus touchés par ce phénomène sans précédent en France : et le chômage qui ne diminue pas !


A part ça : Tout va bien.


La crise économique est mondiale (merci la mondialisation), la pandémie nous guette et il est probable que 30 000 Français ne voient pas Noël cette année : mais le gouvernement se veut rassurant : Tout va bien. Il faut y croire.


Alors il n’y a rien d’étonnant dans le fait que les Français sombrent dans la dépression : complètement étouffés dans un chaos qui parait sans issu, accablés de stress, de nervosité, de taxes… Les nerfs finissent par lâcher, car après tout, nous sommes des êtres humains et les politiques semblent trop souvent l’oublier.

Je vous laisse avec un article de Géopolis traitant de ce sujet :

http://geopolis.over-blog.net/article-14059430.html

même le figaro en parle

http://www.lefigaro.fr/sciences/20071016.FIG000000064_un_francais_sur_cinq_touche_par_la_depression.html





Alors, vous aussi vous pensez que tout va bien?

Il y a un réel malaise en France.

Les conditions de vie, de travail, le stress et la précarité sont intenables, aussi bien pour les employés que pour les cadres...

Isabelle B., cadre en entreprise lassée de voir la France souffrir. (dép. 86)

vendredi 11 septembre 2009

Qu'est-ce que l'antisionisme: échapper aux clichés


A l’occasion des récentes élections européennes, une liste antisioniste est apparue en Ile-De-France, ravivant le débat, les tensions et les clichés.
Le qualificatif d’antisémite a bien entendu été réutilisé faussant un débat pourtant sans aucune ambigüité. Il nous est donc apparu nécessaire de redéfinir clairement l’antisionisme, sa raison d’être et son actualité, de façon neutre et posée, car il n’est plus temps de confondre antisémitisme et antisionisme.

L’antisioniste, comme son nom l’indique, s’oppose au sionisme, c’est-à-dire qu’il combat l’existence d’un Etat religieux juif et unique en Palestine.
Il faut préciser bien entendu qu’il n’existe aucun lien entre antisionisme et antisémitisme, la meilleure preuve étant que de nombreux juifs sont antisionistes…
Il s’agit simplement de s’opposer à Israel dans sa forme actuelle, militariste et impérialiste.
L’antisionisme s’accompagne le plus souvent d’un sentiment pro-palestinien, peuple oppressé et ghettoïsé depuis une décision arbitraire et absurde de l’ONU en 1947.
L’antisionisme prend aujourd’hui une dimension anti communautariste en s’opposant au lobby sioniste manifestement très puissant et influent, tant en France (cf l’affaire Dieudonné), qu’au niveau international (cf conférence Durban II).

Les antisionistes sont de toutes appartenances politiques, on en trouve à droite comme à gauche, à l’extrême droite comme à l’extrême gauche, généralement dans le camp antiaméricain (Israël étant quasiment considéré comme un « porte-avion » américain au Proche-Orient, ce qui, après réflexion n‘est pas une hypothèse si stupide).


On le voit, l’accusation d’antisémitisme n’a pas lieu d’être, la médiocrité de cette accusation n’insulte que leurs auteurs…
L’antisionisme, menée aussi bien par des rabbins Juifs, que par des amis de Juifs, que par des gens de gauche, de droite, de tous les bords, est aujourd’hui une réalité qui se comprend: on ne vole pas sauvagement le pays d’un peuple. La Palestine aurait pu être scindée en deux pacifiquement, les palestiniens, peuple en soi pacifique auraient accepté la venue d’Israël. Au lieu de ça, nous avons assisté à un massacre: une vraie guerre s’est installée et l’Etat palestinien est chaque jour un peu plus grignoté… Cherchez l’erreur.

Un bon croquis vaut souvent mieux qu’un long discours, retrouvez à l'entête de l'article une carte qui permet de comprendre clairement de quoi il s’agit.

THX

mardi 8 septembre 2009

Glutamate, aspartame: le poison dans nos assiettes (partie 2/2)


Extrait du site suivant (mais les sources sont nombreuses)


« RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME
(ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES

L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.

L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate.
L'excès d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame, aussi bien que de toxines,
1) n'est pas complètement développée pendant l'enfance,
2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau,
3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et ¨
4) permet l'infiltration d'un excès de glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.

L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu'elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d'audition, crises
d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.

Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques d'acide L?glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence
d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4)

L'acide aspartique de l'aspartame possède les même effets délétères sur le corps que l'acide glutamique.

Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent: (5)
maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.

Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. »

Nous sommes bien d’accord, l’aspartame et le glutamate sont bien trop utiles et rentables pour qu’on le supprime, en imbiber les aliments permet d’entretenir une dépendance à ceux-ci, de leur donner bon goût lorsqu’ils n’ont rien d’autre à proposer : cf la bouffe complètement irradiée et donc pauvre de chez Mac donald. Pas rentable de les supprimer, alors tant pis, on laisse les gens s’intoxiquer et se détruire les cellules du cerveau. Sur le long terme, cela entraine donc, de grandes pertes de mémoires, de concentration, baisse la capacité de réflexion, de réaction : on pense que beaucoup d’AVC et nota

mment la maladie d’Alzheimer pourraient avoir pour cause la trop grande consommation de ces substances nocives. "


Merci à eux pour cet article.

Le chaos s’est infiltré dans nos assiettes. Ce qui est encore incompréhensible à ce jour, c’est que, après que la toxicité de l’aspartame et surtout du glutamate a été prouvée, l’ordre des médecins ne se soit toujours pas révolté… Et nous, qu'attendons nous pour boycotter ces produits? Où sont les associations de consommateurs?

Pourquoi ce besoin de détruire d'un point de vue neuronal les individus et ainsi, stopper l'évolution logique de leurs capacités mentales?Bien des théories sont évoquées sur internet. Alors, selon vous?


Ouvrez les yeux, TRUTHTELLER

dimanche 6 septembre 2009

Glumate, Aspartame: le poison dans nos assiettes (partie 1/2)

Vous avez sans doute déjà entendu parler de l’aspartame, ce produit magique sensé remplacer le vilain sucre calorique : vive l’aspartame ! c’est moins calorique, ça fait moins grossir et comme nous vivons dans une société qui exalte la minceur, cet aspartame est vraiment une bénédiction. Ou une malédiction…

Voici une petite introduction extraite du site Wikipédia
« L'aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965. C'est un dipeptide composé de deux acides aminés naturels, l'acide L-aspartique et la L-phénylalanine, le dernier étant estérifiée par un alcool, le méthanol.
L'aspartame a un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose et est utilisé pour édulcorer les boissons et aliments à faible calorie ainsi que les médicaments. Cet additif alimentaire est utilisé dans un grand nombre de produits et autorisé dans de nombreux pays, il est référencé dans l'Union européenne par le code E951.
Depuis sa première autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) en 1974, l'aspartame a fait l'objet de polémiques sur ses possibles effets nocifs sur la santé. Les organismes de santé publique (FDA, EFSA...) confirment son innocuité dans les doses d'utilisation autorisées chez l'Homme. »

Pour ce qui est de sa toxicité…On tente de minimiser au maximum les polémiques afin que les Français continuent d’en consommer : trop tard pour faire machine arrière puisqu’il y en a partout.

Wikipédia
«
Depuis sa mise sur le marché, il y a eu des polémiques sur l'innocuité de l'aspartame, alimentées par des accusations de conflits d'intérêts, certaines publications scientifiques, des théories du complot et des canulars informatiques.
En juillet 2005, des chercheurs de la Fondation Européenne Ramazzini, à Bologne (Italie), ont présenté à la presse une étude menée sur des rats montrant un effet cancérogène au niveau du cerveau. Cette étude a été critiquée par des agences de sécurité sanitaire, notamment pour sa méthodologie qui ne supporterait pas ses conclusions. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) après une analyse détaillée des conditions opératoires de cette étude a conclu qu'il n'y a aucune raison de changer les conditions d'utilisation de l'aspartame en Europe. La France a aussi émis des réserves sur la méthode d'étude et des doutes quant à la validité des résultats et s'en tient à une « veille toxicologique » sur l'aspartame. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Aspartame

Le glutamate, substance qui donne un goût délicieux aux aliments et crée une certaines dependance (cf mac donald et les restaurants chinois selon ceux qui se sont penchés sur la questions) est lui aussi en ligne de mire, mais est plus explicitement toxique. Cette fois-ci les données wikipedia sont claires :
Le glutamate stimule les neurones pour un temps. Un temps seulement, ensuite…

« Neurotoxicité
En concentrations excessives, le glutamate déclenche un processus dit d'excitotoxicité, délétère, voire mortel, pour les neurones, particulièrement en cas d'activation des récepteurs NMDA.
La toxicité peut être due à :
• un influx excessif et incontrôlé de Ca2+ dans la cellule, dépassant sa capacité de stockage. Il s'ensuit des altérations mitochondriales, conduisant à une libération de cytochrome p450, menant à l'apoptose.
• une surexpression de facteurs de transcription de gènes pro-apoptotiques, ou une répression des facteurs anti-apoptotiques, médié par le glutamate et le calcium.
Ces théories se basent sur l'observation post-mortem de neurodégénération chez des patients épileptiques connus. »

Pourquoi continuer de l’utiliser ?

« L'acide glutamique est responsable de l'un des cinq goûts de base, umami (savoureux), les quatre autres étant sucré, salé, acide et amer. Il est naturellement présent dans les aliments de base comme la viande et le fromage : par exemple la morue (9,4g/100g), le parmesan (8,7g/100g) et le lait (7,6g/100g)[3].
C'est un additif alimentaire autorisé par l'union européenne, sous forme acide (E620) ou bien de sel (de E621 à E625)[4].
Le glutamate monosodique (sel sodique de l'acide glutamique) apporte une saveur semblable. Il est utilisé pour cette raison comme additif alimentaire. Quelques cas d'intolérance au glutamate monosodique ont été rapportés.
De manière générale, on soupçonne la présence du glutamate monosodique principalement dans les plats asiatiques et surtout dans les restaurants chinois d'où le fameux "syndrome du restaurant chinois" - affection de type migraine importante associée à une sensation de forte soif, survenant une à deux heures après ingestion et pouvant durer trois jours. La puissance de cette migraine n'est pas forcément proportionnelle à la dose ingérée, quelques milligrammes suffisent. A peu près une personne sur 5 000 serait sensible à son ingestion, mais curieusement une sur 50 000 dans les pays asiatiques.
Il est actuellement utilisé couramment en combinaison avec des arômes dans les apéritifs (goût bacon, goût fromage, ...). Cela permet de réhausser le goût de bacon sans bacon, le goût fromage sans fromage, etc. Il est rare de trouver un apéritif qui n'en contienne pas même sur des cacahuètes grillées et salées. On en trouve aussi dans des plats sucrés, bonbons, tartes avec gelée colorée, et dans certaines capsules de médicaments. »

Lorsque l’on s’éloigne des sentiers battus, la vérité est expliquée plus frontalement, parce qu’il y a réel danger, et on suppose que la recrudescence de la maladie d’Alzheimer est en partie causée par la consommation sur le long terme des neurotoxiques.

La suite très bientôt sur l'OCA

Ouvrez les yeux, TRUTHTELLER.

vendredi 4 septembre 2009

La Désinformation


La désinformation est à présent un fait avéré.

Voici ce qu’en dit Wikipédia, qui n’est qu’un exemple de définition

«

En France, Vladimir Volkoff est le premier à avoir révélé au grand public, et sûrement à l'instigation du SDECE , les principaux mécanismes de la désinformation. C'est dans Le montage, Grand Prix du roman de l'académie française en 1982, qu'il essaie de cerner les principales méthodes pour amener l'opinion publique à agir dans une certaine direction. En 1997 ,Volkoff dans Petite histoire de la désinformation entreprend d'en donner une définition précise et aussi par conséquent de définir ce qu'elle ne peut être : « La désinformation est une manipulation de l'opinion publique, à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés. » Pour lui, la manipulation des dirigeants ne relève pas de la désinformation mais de l'intoxication psychologique, tandis qu'en l'absence de moyens détournés, on a affaire à de la propagande. Ainsi la publicité ne peut être de la désinformation si l'on suit cette définition puisqu'elle n'a pas de visées politiques directes et qu'elle se pratique au grand jour.

Une désinformation est un simple transfert d'information qui comporte en lui-même une transformation de l'information initiale. Il ne s'agit pas ici de discuter pour savoir si tout transfert d'information est une transformation de cette information, mais de comprendre qu'il existe une certaine forme de transfert qui nie l'information initiale (en la dénaturant) ou les informations (en les regroupant de manière intempestive et non raisonnée).

Kevin Bronstein donne une définition "faible" c'est-à-dire générale du concept. La désinformation consiste en une inversion du trajet de la communication défini par Adrian Mc Donough dans Information Economics. Ce trajet va de l'information factuelle ou observation, aux inférences tirées à partir des informations et enfin au jugement porté sur les inférences. La voie inverse consiste à partir d'un jugement a priori pour forger des inférences incorrectes à partir de faits manipulés. La théorie de la dissonance cognitive de Leon Festinger montre que la désinformation est un processus plus ou moins conscient de réduction de la contradiction entre les jugements et les faits.

François-Bernard Huyghes en donne une définition plus restrictive dans L'Ennemi à l'ère numérique. Pour lui, « [l]a désinformation consiste à propager délibérément des informations fausses en les faisant apparaître comme venant de source neutre ou amie pour influencer une opinion et affaiblir un adversaire. »

La désinformation est à l’œuvre aujourd’hui en France

- Au sujet de la grippe A, un sujet sur l’OCA traite de l’incohérence gouvernementale : il s’agit surtout de la désinformation gouvernementale : comment doser suffisamment les infos, les biaiser pour entretenir à la fois un climat de crainte et de sérénité. La grippe A : pandémie mondiale ? petit virus contre lequel la France est bien protégée ? Grippe mortelle ? grippe pas plus mortelle qu’une simple grippe ? Pourquoi parler de trois morts de la grippe A dans un pays, lorsque 4000 personnes meurent de la simple grippe chaque année en France… Etrange.

- Plus aucun média n’est neutre, qu’il soit de gauche (et donc vite décrédibilisé, privé de pub, de financement etc) ou de droite : toute chaine de télévision, toute station de radio est partisane. Et le plus souvent, les médias sont contraints, par je ne sais quel moyen, de suivre la majorité présidentielle. On retrouve à chaque fois dans les médias des propos partisans, non objectif. Que ce soit de l’admiration de Nicolas Sarkozy à sa critique la plus virulente : qui en parle de façon neutre ? La neutralité a quitté la sphère des médias et ce, de gré ou de force. C’était nécessaire : aujourd’hui en France, nous sommes d’un côté ou de l’autre et cela devient fatigant.

- Les médias, les informations (au sens JT du terme) reçoivent pour ordre de montrer certaines choses, d’en cacher d’autres à des moments donnés : parler des soldes alors qu’il y a la crise, de la mort de Mickael Jackson alors qu’il y a la pandémie… Un monde de fous, je vous le dis ! cela s’appelle manipuler l’information et donc désinformer le Français.

- La censure aussi fait rage : parler des Juifs, c’est antisémite : censure. Parler de nationalisme c’est être fasciste et donc nazi : censure. Parler d’euthanasie c’est prôner le suicide : censure. Critiquer la politique du gouvernement c’est outrage au chef de l’Etat : censure. S’opposer au capitalisme c’est être communiste ou anarchiste : censure. S’opposer à la mondialisation c’est être partisan de l’immobilisme et du conservatisme (cf Discours de Sarkozy) : censure. Français : n’en avez-vous pas assez de ces extrémismes ? n’en avez-vous pas marre qu’on vous dise quoi penser ?

- Comment pallier la désinformation ? Etant donné qu’aucun média n’est neutre, il faut écouter tout type de discours en écoutant les informations de toutes les chaines sans se cantonner à une seule. De même pour les stations de radio : varier pour varier les points de vue. De même pour les journaux : passer du figaro au monde diplomatique en passant par le canard enchainé. Et surtout : ne pas rester passifs face à l’information, aller chercher ces informations notamment sur le net. De nombreux sites de gauche, de droite, du centre, des extrêmes, des alternatifs, des conspirationistes : Français, lisez de tout. Seulement ainsi vous vous forgerez une opinion neutre puisque ce sera à VOUS de pesez le pour et le contre.

- Emancipez-vous de la manipulation des médias. Redevenez un peuple libre à l’esprit libre et au jugement personnel ! Seulement ainsi nous sortirons de la crise qui mine la France depuis de nombreuses années déjà !

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sinformation

http://www.millebabords.org/spip.php?article4590

http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/la-desinformation-un-leurre-des-21347

°Versus°.

mercredi 2 septembre 2009

Grippe A: l'incohérence gouvernementale

La grippe A fait l’objet sur de nombreux sites Web des théories les plus diverses.

D’un génocide massif programmé de longue date à une série d’erreurs sans lien entre elles, les claviers s’échauffent autour de l’affaire, et la confusion règne.
Et là où le gouvernement devrait justement , se montrer responsable en réagissant rationnellement et efficacement, il opte pour un comportement qui ne fait qu’entretenir les suspicions les plus diverses.
Que ce soit en dissimulant officieusement le danger ou l’étendue des dégâts, ou au contraire en jouant sur la peur et en développant la paranoïa, les autorités apparaissent comme (volontairement ?) incapables de gérer la situation.
Le refus d’élever le niveau d’alerte à 6,alors même que l’Organisation Mondiale de la Santé a appelé tous les Etats à le faire, démontre une sous-estimation des risques pandémiques.
Une sous-estimation également évidente par la lenteur de la réaction gouvernementale au début des événements.
Une réaction énergique et prompte dès le début de la crise aurait en effet permis de limiter au maximum l’étendue de l’épidémie. Au lieu de ça, les vols vers le Mexique furent maintenus, les contrôles à peine renforcés, les mesures sanitaires de prévention venant tout juste d’être décidées.

Le gouvernement semble ne pas savoir sur quel pied danser et nous informe sur tout et son contraire.

Et dernièrement, la Ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé dans la même conférence que la France avait commandé, pour 1 milliard d’euros, 94 millions de doses de vaccins, tout en précisant qu’ils ne seront pas utilisés tant qu’ils n’auront pas reçu l’autorisation de mise sur le marché, ce qui veut dire, en clair que : La France a commandé pour 1 milliards de vaccins potentiellement inefficaces ou dangereux. (puisqu'ils sont en attente de validation de mise sur le marché. Quelle incohérence)
Là encore, le gouvernement montre un amateurisme que l’on peut concevoir comme suspect…

Et si, en fait, le vrai fléau de cette crise ce n’était tout simplement que l’incohérence incompétente du gouvernement français ? La grippe est mortelle et grave et pourtant on reste tranquillement à vivre notre petite vie sans prendre de réelle mesure. Non, finalement, le gouvernement annonce qu’il est serein. Nous rappelons qu’il y aura, en France, en 3000 et 30 000 décès dus à la grippe porcine…

Il serait temps de prendre de vraies mesures, car il est déjà peut-être trop tard: imaginez le nombre de porteurs saints.

L’Observateur

http://www.gouvernement.fr/gouvernement/grippe-a-le-comite-interministeriel-de-crise-donne-des-precisions-sur-la-vaccination


http://www.infovaccin.fr/synthese_20090804.html