mardi 8 septembre 2009

Glutamate, aspartame: le poison dans nos assiettes (partie 2/2)


Extrait du site suivant (mais les sources sont nombreuses)


« RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME
(ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES

L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.

L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate.
L'excès d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame, aussi bien que de toxines,
1) n'est pas complètement développée pendant l'enfance,
2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau,
3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et ¨
4) permet l'infiltration d'un excès de glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.

L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu'elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d'audition, crises
d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.

Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques d'acide L?glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence
d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4)

L'acide aspartique de l'aspartame possède les même effets délétères sur le corps que l'acide glutamique.

Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent: (5)
maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.

Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. »

Nous sommes bien d’accord, l’aspartame et le glutamate sont bien trop utiles et rentables pour qu’on le supprime, en imbiber les aliments permet d’entretenir une dépendance à ceux-ci, de leur donner bon goût lorsqu’ils n’ont rien d’autre à proposer : cf la bouffe complètement irradiée et donc pauvre de chez Mac donald. Pas rentable de les supprimer, alors tant pis, on laisse les gens s’intoxiquer et se détruire les cellules du cerveau. Sur le long terme, cela entraine donc, de grandes pertes de mémoires, de concentration, baisse la capacité de réflexion, de réaction : on pense que beaucoup d’AVC et nota

mment la maladie d’Alzheimer pourraient avoir pour cause la trop grande consommation de ces substances nocives. "


Merci à eux pour cet article.

Le chaos s’est infiltré dans nos assiettes. Ce qui est encore incompréhensible à ce jour, c’est que, après que la toxicité de l’aspartame et surtout du glutamate a été prouvée, l’ordre des médecins ne se soit toujours pas révolté… Et nous, qu'attendons nous pour boycotter ces produits? Où sont les associations de consommateurs?

Pourquoi ce besoin de détruire d'un point de vue neuronal les individus et ainsi, stopper l'évolution logique de leurs capacités mentales?Bien des théories sont évoquées sur internet. Alors, selon vous?


Ouvrez les yeux, TRUTHTELLER

dimanche 6 septembre 2009

Glumate, Aspartame: le poison dans nos assiettes (partie 1/2)

Vous avez sans doute déjà entendu parler de l’aspartame, ce produit magique sensé remplacer le vilain sucre calorique : vive l’aspartame ! c’est moins calorique, ça fait moins grossir et comme nous vivons dans une société qui exalte la minceur, cet aspartame est vraiment une bénédiction. Ou une malédiction…

Voici une petite introduction extraite du site Wikipédia
« L'aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965. C'est un dipeptide composé de deux acides aminés naturels, l'acide L-aspartique et la L-phénylalanine, le dernier étant estérifiée par un alcool, le méthanol.
L'aspartame a un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose et est utilisé pour édulcorer les boissons et aliments à faible calorie ainsi que les médicaments. Cet additif alimentaire est utilisé dans un grand nombre de produits et autorisé dans de nombreux pays, il est référencé dans l'Union européenne par le code E951.
Depuis sa première autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) en 1974, l'aspartame a fait l'objet de polémiques sur ses possibles effets nocifs sur la santé. Les organismes de santé publique (FDA, EFSA...) confirment son innocuité dans les doses d'utilisation autorisées chez l'Homme. »

Pour ce qui est de sa toxicité…On tente de minimiser au maximum les polémiques afin que les Français continuent d’en consommer : trop tard pour faire machine arrière puisqu’il y en a partout.

Wikipédia
«
Depuis sa mise sur le marché, il y a eu des polémiques sur l'innocuité de l'aspartame, alimentées par des accusations de conflits d'intérêts, certaines publications scientifiques, des théories du complot et des canulars informatiques.
En juillet 2005, des chercheurs de la Fondation Européenne Ramazzini, à Bologne (Italie), ont présenté à la presse une étude menée sur des rats montrant un effet cancérogène au niveau du cerveau. Cette étude a été critiquée par des agences de sécurité sanitaire, notamment pour sa méthodologie qui ne supporterait pas ses conclusions. L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) après une analyse détaillée des conditions opératoires de cette étude a conclu qu'il n'y a aucune raison de changer les conditions d'utilisation de l'aspartame en Europe. La France a aussi émis des réserves sur la méthode d'étude et des doutes quant à la validité des résultats et s'en tient à une « veille toxicologique » sur l'aspartame. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Aspartame

Le glutamate, substance qui donne un goût délicieux aux aliments et crée une certaines dependance (cf mac donald et les restaurants chinois selon ceux qui se sont penchés sur la questions) est lui aussi en ligne de mire, mais est plus explicitement toxique. Cette fois-ci les données wikipedia sont claires :
Le glutamate stimule les neurones pour un temps. Un temps seulement, ensuite…

« Neurotoxicité
En concentrations excessives, le glutamate déclenche un processus dit d'excitotoxicité, délétère, voire mortel, pour les neurones, particulièrement en cas d'activation des récepteurs NMDA.
La toxicité peut être due à :
• un influx excessif et incontrôlé de Ca2+ dans la cellule, dépassant sa capacité de stockage. Il s'ensuit des altérations mitochondriales, conduisant à une libération de cytochrome p450, menant à l'apoptose.
• une surexpression de facteurs de transcription de gènes pro-apoptotiques, ou une répression des facteurs anti-apoptotiques, médié par le glutamate et le calcium.
Ces théories se basent sur l'observation post-mortem de neurodégénération chez des patients épileptiques connus. »

Pourquoi continuer de l’utiliser ?

« L'acide glutamique est responsable de l'un des cinq goûts de base, umami (savoureux), les quatre autres étant sucré, salé, acide et amer. Il est naturellement présent dans les aliments de base comme la viande et le fromage : par exemple la morue (9,4g/100g), le parmesan (8,7g/100g) et le lait (7,6g/100g)[3].
C'est un additif alimentaire autorisé par l'union européenne, sous forme acide (E620) ou bien de sel (de E621 à E625)[4].
Le glutamate monosodique (sel sodique de l'acide glutamique) apporte une saveur semblable. Il est utilisé pour cette raison comme additif alimentaire. Quelques cas d'intolérance au glutamate monosodique ont été rapportés.
De manière générale, on soupçonne la présence du glutamate monosodique principalement dans les plats asiatiques et surtout dans les restaurants chinois d'où le fameux "syndrome du restaurant chinois" - affection de type migraine importante associée à une sensation de forte soif, survenant une à deux heures après ingestion et pouvant durer trois jours. La puissance de cette migraine n'est pas forcément proportionnelle à la dose ingérée, quelques milligrammes suffisent. A peu près une personne sur 5 000 serait sensible à son ingestion, mais curieusement une sur 50 000 dans les pays asiatiques.
Il est actuellement utilisé couramment en combinaison avec des arômes dans les apéritifs (goût bacon, goût fromage, ...). Cela permet de réhausser le goût de bacon sans bacon, le goût fromage sans fromage, etc. Il est rare de trouver un apéritif qui n'en contienne pas même sur des cacahuètes grillées et salées. On en trouve aussi dans des plats sucrés, bonbons, tartes avec gelée colorée, et dans certaines capsules de médicaments. »

Lorsque l’on s’éloigne des sentiers battus, la vérité est expliquée plus frontalement, parce qu’il y a réel danger, et on suppose que la recrudescence de la maladie d’Alzheimer est en partie causée par la consommation sur le long terme des neurotoxiques.

La suite très bientôt sur l'OCA

Ouvrez les yeux, TRUTHTELLER.

vendredi 4 septembre 2009

La Désinformation


La désinformation est à présent un fait avéré.

Voici ce qu’en dit Wikipédia, qui n’est qu’un exemple de définition

«

En France, Vladimir Volkoff est le premier à avoir révélé au grand public, et sûrement à l'instigation du SDECE , les principaux mécanismes de la désinformation. C'est dans Le montage, Grand Prix du roman de l'académie française en 1982, qu'il essaie de cerner les principales méthodes pour amener l'opinion publique à agir dans une certaine direction. En 1997 ,Volkoff dans Petite histoire de la désinformation entreprend d'en donner une définition précise et aussi par conséquent de définir ce qu'elle ne peut être : « La désinformation est une manipulation de l'opinion publique, à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés. » Pour lui, la manipulation des dirigeants ne relève pas de la désinformation mais de l'intoxication psychologique, tandis qu'en l'absence de moyens détournés, on a affaire à de la propagande. Ainsi la publicité ne peut être de la désinformation si l'on suit cette définition puisqu'elle n'a pas de visées politiques directes et qu'elle se pratique au grand jour.

Une désinformation est un simple transfert d'information qui comporte en lui-même une transformation de l'information initiale. Il ne s'agit pas ici de discuter pour savoir si tout transfert d'information est une transformation de cette information, mais de comprendre qu'il existe une certaine forme de transfert qui nie l'information initiale (en la dénaturant) ou les informations (en les regroupant de manière intempestive et non raisonnée).

Kevin Bronstein donne une définition "faible" c'est-à-dire générale du concept. La désinformation consiste en une inversion du trajet de la communication défini par Adrian Mc Donough dans Information Economics. Ce trajet va de l'information factuelle ou observation, aux inférences tirées à partir des informations et enfin au jugement porté sur les inférences. La voie inverse consiste à partir d'un jugement a priori pour forger des inférences incorrectes à partir de faits manipulés. La théorie de la dissonance cognitive de Leon Festinger montre que la désinformation est un processus plus ou moins conscient de réduction de la contradiction entre les jugements et les faits.

François-Bernard Huyghes en donne une définition plus restrictive dans L'Ennemi à l'ère numérique. Pour lui, « [l]a désinformation consiste à propager délibérément des informations fausses en les faisant apparaître comme venant de source neutre ou amie pour influencer une opinion et affaiblir un adversaire. »

La désinformation est à l’œuvre aujourd’hui en France

- Au sujet de la grippe A, un sujet sur l’OCA traite de l’incohérence gouvernementale : il s’agit surtout de la désinformation gouvernementale : comment doser suffisamment les infos, les biaiser pour entretenir à la fois un climat de crainte et de sérénité. La grippe A : pandémie mondiale ? petit virus contre lequel la France est bien protégée ? Grippe mortelle ? grippe pas plus mortelle qu’une simple grippe ? Pourquoi parler de trois morts de la grippe A dans un pays, lorsque 4000 personnes meurent de la simple grippe chaque année en France… Etrange.

- Plus aucun média n’est neutre, qu’il soit de gauche (et donc vite décrédibilisé, privé de pub, de financement etc) ou de droite : toute chaine de télévision, toute station de radio est partisane. Et le plus souvent, les médias sont contraints, par je ne sais quel moyen, de suivre la majorité présidentielle. On retrouve à chaque fois dans les médias des propos partisans, non objectif. Que ce soit de l’admiration de Nicolas Sarkozy à sa critique la plus virulente : qui en parle de façon neutre ? La neutralité a quitté la sphère des médias et ce, de gré ou de force. C’était nécessaire : aujourd’hui en France, nous sommes d’un côté ou de l’autre et cela devient fatigant.

- Les médias, les informations (au sens JT du terme) reçoivent pour ordre de montrer certaines choses, d’en cacher d’autres à des moments donnés : parler des soldes alors qu’il y a la crise, de la mort de Mickael Jackson alors qu’il y a la pandémie… Un monde de fous, je vous le dis ! cela s’appelle manipuler l’information et donc désinformer le Français.

- La censure aussi fait rage : parler des Juifs, c’est antisémite : censure. Parler de nationalisme c’est être fasciste et donc nazi : censure. Parler d’euthanasie c’est prôner le suicide : censure. Critiquer la politique du gouvernement c’est outrage au chef de l’Etat : censure. S’opposer au capitalisme c’est être communiste ou anarchiste : censure. S’opposer à la mondialisation c’est être partisan de l’immobilisme et du conservatisme (cf Discours de Sarkozy) : censure. Français : n’en avez-vous pas assez de ces extrémismes ? n’en avez-vous pas marre qu’on vous dise quoi penser ?

- Comment pallier la désinformation ? Etant donné qu’aucun média n’est neutre, il faut écouter tout type de discours en écoutant les informations de toutes les chaines sans se cantonner à une seule. De même pour les stations de radio : varier pour varier les points de vue. De même pour les journaux : passer du figaro au monde diplomatique en passant par le canard enchainé. Et surtout : ne pas rester passifs face à l’information, aller chercher ces informations notamment sur le net. De nombreux sites de gauche, de droite, du centre, des extrêmes, des alternatifs, des conspirationistes : Français, lisez de tout. Seulement ainsi vous vous forgerez une opinion neutre puisque ce sera à VOUS de pesez le pour et le contre.

- Emancipez-vous de la manipulation des médias. Redevenez un peuple libre à l’esprit libre et au jugement personnel ! Seulement ainsi nous sortirons de la crise qui mine la France depuis de nombreuses années déjà !

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sinformation

http://www.millebabords.org/spip.php?article4590

http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/la-desinformation-un-leurre-des-21347

°Versus°.

mercredi 2 septembre 2009

Grippe A: l'incohérence gouvernementale

La grippe A fait l’objet sur de nombreux sites Web des théories les plus diverses.

D’un génocide massif programmé de longue date à une série d’erreurs sans lien entre elles, les claviers s’échauffent autour de l’affaire, et la confusion règne.
Et là où le gouvernement devrait justement , se montrer responsable en réagissant rationnellement et efficacement, il opte pour un comportement qui ne fait qu’entretenir les suspicions les plus diverses.
Que ce soit en dissimulant officieusement le danger ou l’étendue des dégâts, ou au contraire en jouant sur la peur et en développant la paranoïa, les autorités apparaissent comme (volontairement ?) incapables de gérer la situation.
Le refus d’élever le niveau d’alerte à 6,alors même que l’Organisation Mondiale de la Santé a appelé tous les Etats à le faire, démontre une sous-estimation des risques pandémiques.
Une sous-estimation également évidente par la lenteur de la réaction gouvernementale au début des événements.
Une réaction énergique et prompte dès le début de la crise aurait en effet permis de limiter au maximum l’étendue de l’épidémie. Au lieu de ça, les vols vers le Mexique furent maintenus, les contrôles à peine renforcés, les mesures sanitaires de prévention venant tout juste d’être décidées.

Le gouvernement semble ne pas savoir sur quel pied danser et nous informe sur tout et son contraire.

Et dernièrement, la Ministre de la Santé Roselyne Bachelot a annoncé dans la même conférence que la France avait commandé, pour 1 milliard d’euros, 94 millions de doses de vaccins, tout en précisant qu’ils ne seront pas utilisés tant qu’ils n’auront pas reçu l’autorisation de mise sur le marché, ce qui veut dire, en clair que : La France a commandé pour 1 milliards de vaccins potentiellement inefficaces ou dangereux. (puisqu'ils sont en attente de validation de mise sur le marché. Quelle incohérence)
Là encore, le gouvernement montre un amateurisme que l’on peut concevoir comme suspect…

Et si, en fait, le vrai fléau de cette crise ce n’était tout simplement que l’incohérence incompétente du gouvernement français ? La grippe est mortelle et grave et pourtant on reste tranquillement à vivre notre petite vie sans prendre de réelle mesure. Non, finalement, le gouvernement annonce qu’il est serein. Nous rappelons qu’il y aura, en France, en 3000 et 30 000 décès dus à la grippe porcine…

Il serait temps de prendre de vraies mesures, car il est déjà peut-être trop tard: imaginez le nombre de porteurs saints.

L’Observateur

http://www.gouvernement.fr/gouvernement/grippe-a-le-comite-interministeriel-de-crise-donne-des-precisions-sur-la-vaccination


http://www.infovaccin.fr/synthese_20090804.html

lundi 31 août 2009

De la décadence (partie 2/2)


J’aimerais surtout parler de la décadence intellectuelle de nos sociétés. Elle est due à l’environnement des hommes en général : les médias, que ce soit télévision, radio, magazines, tout est bouffé par la publicité, tout est manipulé afin d’agir efficacement sur le téléspectateur, sur l’auditeur, sur le lecteur. Et les contenus se vident peu à peu. Il fut un temps où nous trouvions encore des émissions culturelles enrichissantes, notamment à la télévision (en ce qui concerne la radio, certaines stations résistent tant qu’elles peuvent à l’abrutissement généralisé des médias, le problème est que les auditeurs ne suivent pas). A l’heure actuelle, le Français moyen (au même titre que l’Américain moyen), se pose devant la télévision de façon complètement passive, pour se détendre d’une journée difficile, pour briser le rythme d’un train de vie oppressant. Cette passivité est un fléau : il se laisse malgré lui manipuler. Que ce soit par les spots publicitaires à outrance qui lui impose une logique consumériste frustrante –par manque de moyens financiers-, que ce soit par des programmes débilitants qui poussent à ne s’intéresser qu’à des détails voyeuristes, afin de ne pas voir l’essentiel. La télévision donne tout au téléspectateur, pourquoi chercherait-il : il a même à sa disposition les informations. Oui mais ces fameuses infos sont bien souvent elles aussi manipulées : il est facile de ne montrer que ce que l’on veut et de cacher le plus important. Nous, les Observateurs sommes justement là pour informer réellement, sans logique de manipulation et d’abrutissement des masses. Le problème est que la télévision créé un état de dépendance qui pousse à la décadence intellectuelle : les gens se laissent nourrir de données souvent erronées, orientées, creuses et ce, avec passivité. De ce fait, la masse sombre lentement dans une décadence intellectuelle : ne réfléchissant plus, ayant entière confiance en ce que disent les médias, ils se retrouvent être une masse obéissante, passive et donc, sans risque de rébellion, ni de révolution. Les masses sont donc manipulées, et opprimées : cette décadence intellectuelle pourrait faire partie d’un processus d’appauvrissement intellectuel nécessaire à un meilleur contrôle des populations.

Cette décadence intellectuelle s’accompagne d’une décadence culturelle et artistique. L’art touche-t-il à sa fin ? Trouve-t-on dans les problématiques de philosophie au lycée et au-delà. Une envie de crier « OUI ! » me prend. Le ferai-je ? Nous n’inventons plus rien, ou ce que nous inventons n’est qu’en réalité une pâle copie modernisée d’éléments d’un passé que tous regrettent amèrement. Il n’y a plus de mode, que des redécouvertes de modes passées recyclées. En architecture, je parlerai de décadence : plus aucune créativité, que des bâtiments identiques, sans saveurs et aseptisés, dont la qualité laisse à désirer. On ne créé plus, on n’évolue plus, ne pense-t-on donc plus ? Bernard Henri Levy Philosophe ? Bernard Werber écrivain ? Autant dire que le plastique c’est de l’or. Les gens ne lisent plus ou peu, n’écoutent plus les émissions culturelles à la radio, ne prennent plus plaisir à aller au théâtre, à l’opéra. Seule une minorité est encore touchée par la culture. Il suffit de regarder le niveau de langue et d’orthographe des nouvelles générations : déplorable. Cette décadence est grandement engendrée par l’essor d’internet, outil de virtualisation des vies. Et cette décadence pourrait être sauvée par le système scolaire à qui on ne laisse aucune chance. Abrutir les masses afin d’avoir une meilleure main mise dessus ? Cette décadence leur profiterait peut-être. Il serait peut-être temps de revaloriser la culture française, sa langue, son art. Réapprenons à réfléchir, à ressentir, à contempler, à mener des réflexions profondes : là nous avancerons vers un avenir plus sûr au lieu de nous engouffrer dans cette décadence purement chaotique qui ne pourra nous mener qu’à un mur d’inactions et à notre propre asservissement.


---Hemera---

dimanche 30 août 2009

De la décadence (Partie I/2)

L’Humanité a connu diverses phases. Disons qu’il y a eu des phases ascendantes, d’apogées, comme l’apogée de la civilisation égyptienne, de l’empire romain, de la grandeur de la France, la période de la Renaissance et des grandes découvertes etc… Et des phases plus décadentes : le règne de Néron à Rome, les épidémies de peste noire en Europe, la chute de l’empire byzantin, les massacres de la Saint Barthélémy, les guerres mondiales.

On ne peut plus nier que nous sommes incontestablement dans une phase décadente de notre civilisation. Et la décadence se retrouve sur de multiples plans : politique, social, artistique, environnemental… Une période où tout semble empirer et non pas s’améliorer.

Sur le plan politique –plan que je ne maitrise que trop peu par profond dégout et déception des politiques actuels- nous sommes en décadence. Les politiques actuels se sont fourvoyés en voulant à tout prix imposer un libéralisme qui entraine une lente dégradation des services publics, et une concurrence démentielle qui causera assurément la perte de notre économie. Le chômage se multiplie… De plus, avec leur modèle global de mondialisation et leur volonté à demi voilée de créer une économie totalement mondialisée, nous courrons droit dans le mur. Cela se voit avec la crise économique qu’ont connue les pays profondément engagés dans le processus de mondialisation. Cette crise, au lieu de ne toucher que le pays en question (à savoir les USA avec, entre autres, la faillite de la banque Lehmann brothers) s’est propagée au reste monde ! Si la France s’était tenue à l’écart de ce principe d’économie mondialisée, sans doute aurait-elle été moins touchée par cette crise, dont les conséquences se sont fait ressentir quasi instantanément sur la vie des Français. Cette décadence méprise l’Homme : le chômage ? Tant pis, on continue de privatiser, de délocaliser à outrance ! Il faut rester compétitif ! Les politiques actuels semblent bien plus passionnés et concernés par leurs montres et leurs vacances que par l’avenir de leurs pays et de ceux qui le constituent et souffrent un peu plus chaque jour.

Sur le plan social, nous poursuivons la décadence. Par social, j’entends au sens strict mais aussi psychologique et moral. La société actuelle n’avance plus et souffre comme elle n’a jamais souffert : entre chômage qui a atteint des taux inédits en France, précarité, misère, lente disparition des retraites… Nous perdons un à un tous nos acquis sociaux et même les 35 heures sont remises en cause ! On privatise au lieu de nationaliser et on entre donc dans une logique qui ne laisse pas de place à une cohésion sociale. La logique libérale s’est même infiltrée dans les mentalités qui s’individualisent progressivement : diviser pour mieux régner. Si chacun ne pense qu’à son petit soi, il n’y a plus de volonté de solidarité, et donc tout risque de révolte s’amenuise chaque jour… L’individualisme à outrance causera la perte du peuple. C’est de la décadence : elle est loin la cohésion nationale de 1789, elle est loin l’effervescence patriotique et la solidarité, qu’étrangement, nous ne connaissons qu’en temps de guerre. Mais nous avons une guerre contre la décadence à mener ! La France plonge peu à peu dans un chaos « ambiant » que ses habitants ne perçoivent même plus à force de s’y engouffrer avec joie et inanité. Il faut retrouver une cohésion sociale, une solidarité pour faire face à la lente dégradation que subissent les Nations du Monde aujourd’hui.


la suite très prochainement sur l'Observatoire du Chaos Ambiant


--Hemera--

lundi 24 août 2009

Qui sommes-nous ?

Les Observateurs sont un collectif anonyme de personnes désireuses d’observer le chaos ambiant, qui infiltre chaque jour un peu plus nos sociétés. Les personnes qui le composent ne sont pas fixes : chacun peut y participer sans obligation d’y revenir, car nous sommes TOUS concernés et il n’est plus temps de constituer des groupuscules fermés mais de se réunir pour travailler ensemble à une prise de conscience collective. Notre but est donc là : que tous soient informés de façon plus ou moins neutre (tout dépend de l’observateur car chaque observateur est libre de sa parole) des informations qu’on nous cache, qu’on nous minimise ou que les médias ne veulent pas voir. Les Observateurs veillent aussi à l’évolution sociologique/ psychologique et environnementale des sociétés, en s’appuyant sur les nombreuses sources d’informations alternatives abritées sur le Net.

Ce que nous voulons ?

Observer et montrer du doigt la triste réalité.
Au fond, il s’agit de sortir des analyses dogmatiques et politiciennes dépassées pour opter pour une observation quasi-scientifique du système, ou en tout cas, suffisamment pragmatique pour être valable et utile.
La multiplicité des points de vue garantira en effet paradoxalement une approche optimale de la réalité de ce chaos ambiant.

C’est donc là la vocation de l’Observatoire du Chaos Ambiant, c’est le rôle des Observateurs.
C’est notre rôle, à tous.

Si vous voulez envoyer votre article, contactez-nous :
observatoire-du-chaos-ambiant@live.fr